et oui qu'est-ce que tu veux....
En résumé l'Eglise, condamne le plaisir sexuel sous toutes ses formes (et postions). Ce qui entraine un rejet de l'acte sexuel à peine toléré pour la procréation. Ceci avait pour but au départ (au début du Moyen-Age) de stimulet les religieux qui avaient fait voeux de chasteter.
En fouillant un peu, je suis tombé sur cette perle :
Lettre(années 1930) adressée à l'abbé Viollet, fondateur de l'Association du Mariage Chrétien (tout un programme).
Monsieur le Chanoine,
Je suis réfugiée dans un petit pays où nous n'avons qu'un pauvre petit vicaire breton et un vieux curé de quatre-vingt-sept ans au lit. Je viens donc recourir à votre grande compétence pour éclairer ma conscience. J'entre de suite dans le sujet. Dans l'acte conjugal, la femme peut, si elle veut, continuer longtemps à jouir. Le peut-elle sans péché ? Ou s'il y a faute, quand devient-elle péché mortel, et dans ce cas, comment s'en accuser en confession ?
Voilà ce que je n'ose demander à notre jeune vicaire et que je vous serai bien reconnaissante de me dire au plus tôt. Nous avons toujours mon mari et moi suivi vos enseignements sur le mariage chrétien et avons eu six enfants dont l'ainé est séminariste. Et malgré notre bonne volonté, vous voyez qu'il y a encore des lacunes dans notre instruction.